On vous attend lors du forum des associations sur notre stand à Moutiers ce samedi 7 septembre de 14h à 18h à la salle polyvalente Georges Larnaud
Note : pour les membres actuels de l’association, ainsi que quiconque de bonne volonté qui veut simplement aider à l’installation, nous vous attendons dès le matin avec en bonus un repas partagé avec toutes les associations à midi. Merci de vous signaler auprès du vice prédisent, Bernard GSELL, au 07 86 25 91 11
Une partie du service des urgences de Chambéry est en grève pour le 11e mardi consécutif. Si la direction assure avoir « validé des premières avancées concrètes », elles sont (très) loin de satisfaire le personnel.
Ce devait être une première avancée dans les négociations entre la
direction du Centre hospitalier Métropole Savoie (CHMS) et le personnel
en grève. Il n’en est rien. Comme promis, la direction a reçu les
manifestants lors de “groupes de travail” en juin et en juillet. Ces
réunions devaient permettre d’entrevoir une sortie de crise. Le
directeur de l’hôpital promettant du « concret ».
C’est par la
voix de Sylvia Gotteland, directrice adjointe du CHMS, que la direction
s’est félicitée de ces premières avancées « concrètes ».
D’abord,
le matériel. Depuis le début de la contestation, le personnel en grève
réclame « plus de matériel (brancard, fauteuils…) », et le remplacement
ou la réparation « du matériel défectueux ». En réponse, l’hôpital a
fait l’acquisition de 10 brancards et de 25 fauteuils. « Nous avions
prévu d’acheter 5 brancards et 12 fauteuils. Nous avons doublé notre
budget [de 50 000 à 100 000 euros, NDLR] pour obtenir ce matériel
supplémentaire », explique la n° 2 du CHMS.
Insuffisant pour
Bastien Reisler, infirmier et membre du collectif inter-Urgences : « Ces
brancards et ces lits remplaceront le matériel défectueux ou
inexistant. Pour nous, ce n’est absolument pas du matériel
“supplémentaire”. » Autre point de discorde, le paiement des heures
supplémentaires. La direction a validé « le paiement, à la demande, des
heures supplémentaires - au-delà de 15 heures - réalisées depuis le
début de l’année. » Une mesure qui permettrait aux salariés de toucher
ces indemnités dès le mois d’août plutôt qu’en décembre, comme le veut
l’usage. « C’est une des revendications auxquelles nous avons répondu »,
se félicite Sylvia Gotteland. « Mais ça ne fait absolument pas partie
de nos revendications ! » conteste, de son côté, Bastien Reisler.
Dans
le préavis de grève envoyé le 25 mai 2019 à Florent Chambaz, le
directeur de l’hôpital, il n’est effectivement nullement fait mention de
cette requête. « Nous demandons d’être rémunérés en heures
supplémentaires, sans condition, lorsque nous sommes sollicités pour des
remplacements », précise l’infirmier.
D’autres réunions sont
prévues pour le mois de septembre. Mais il est toutefois difficile
d’imaginer une sortie de crise précoce, tant le dialogue entre la
direction et le personnel en grève semble épineux.
« Non à la fermeture de Daquin, oui à des soins de qualité. » C’est
en substance le message d’une cinquantaine de travailleurs du CHS
(Centre hospitalier spécialisé), rassemblés mardi matin autour du
rond-point en contrebas du centre psychiatrique de Bassens.
Tous
étaient mobilisés, et tractaient auprès des automobilistes, pour
dénoncer la fermeture annoncée du service Daquin, une unité qui regroupe
25 lits pour des patients venant de Tarentaise. « La direction nous a
fait cette annonce début juillet. L’unité était déjà fermée pour l’été
mais elle ne rouvrirait pas », commente M. Royet, éducateur et syndiqué
CGT au CHS. En cause un manque de médecins, ce qui n’assurerait plus la
sécurité des patients et du personnel. Les syndicats y voient, eux, une
énième attaque contre le service public et contre la psychiatrie plus
particulièrement. « On avait déjà perdu 25 lits, il y a trois ans. Et
encore 25 aujourd’hui, poursuit Mathilde Perrier, secrétaire au CHS et
représentante CGT. La psychiatrie a toujours été la dernière roue du
carrosse, mais là c’est plus vrai que jamais. »
Début juillet, la
possibilité d’un renfort médical par les quatre autres services avait
été évoquée par des médecins du CHS. Mais la direction s’interrogeait
sur « la viabilité de cette solution ».
Dans le cadre d’une action nationale décidée lors de la dernière réunion de la Coordination Nationale des Maternités et Hôpitaux de Proximité (cf article précédent), le Collectif pour l’Hôpital de Moûtiers organise une rencontre avec la population afin de recueillir le sentiment de chacun sur la loi « Ma santé 2022 » qui est en cours de vote actuellement au Sénat et à l’Assemblée Nationale.
Cette rencontre sera organisée en 3 lieux à Moûtiers (Carrefour et Casino) et Salins-les-Thermes (Super U) ce samedi 15 juin.
Rassurez-vous nous n’aurons rien à vous vendre, juste discuter avec vous pendant à peine 1 minute et vous poser 2 questions (si vous souhaitez prendre plus de temps, ce sera avec plaisir bien entendu).
Merci à tous pour votre participation à venir.
P.S. : dernièrement nous avons relancé à nouveau les démarches pour que l’association soit reconnue « Représentante des Usagers » auprès des instances décisionnaires. On vous tiendra informé.
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