Les pessimistes seraient tentés de dire que « ça y est, maintenant que les urgences ont fermées à Moutiers, c’est plié, le combat est perdu, y’a plus qu’à pleurer et se rendre à Albertville en cas d’urgence ».
Et pourtant, rien n’est perdu, ni pour les urgences et la chirurgie de l’hôpital de Moutiers, ni pour Graftech, comme relaté dans cet article du Dauphiné Libéré :